dimanche 27 octobre 2013

La flamme Olympique

Tous les quatre ans, le monde entier se tourne vers une ville hôtesse qui accueille les Jeux Olympiques. Des milliers d'athlètes donnent leur maximum pour gagner des médailles et monter sur le podium, et faire honneur à leur pays.

100 jours avant l'ouverture des jeux, un évènement donne le coup d'envoi de tout le reste. Sans lui, il n'y aurait pas de jeux : l'allumage de la torche, et le passage subséquent de la torche.

Flash au Québec:

Option nationale vient d'élire son premier chef, Sol Zanetti. Ce jeune parti est nouvellement investi d'un élan de croissance et de vigueur qui durera, je l'espère, encore longtemps. Les Olympiques, pour Opton nationale, seront les élections générales de 2019, en supposant qu'il y en aura d'abord en 2014. La torche a été allumée par Jean-Martin Aussant, à la flamme éternelle du désir inextinguible d'indépendance. Sol Zanetti doit garder la flamme vivante, la nourrir pendant de longues années. Les athlètes qui lui feront confiance et trouveront courage et valeur dans ses yeux oseront se présenter aux élections Olympiques. Ils affronteront de vieux routiers avec leurs vieilles tricheries. La machine à mensonge ne chauffe jamais autant qu'en période électorale, c'est bien connu. On garde les As pour la manche finale, on garde les bouteilles de NoS pour les derniers mètres.

Option nationale joue cartes sur table quant à l'accession à l'indépendance: écriture d'une Constitution québécoise et entérinement de l'indépendance de la République du Québec (maudit que ça sonne bien!) dès le premier mandat.

Option nationale n'est pas le parti d'un seul homme, c'est maintenant démontré. C'est à chaque membre, à chaque militant d'enfiler ses chaussures et d'aller parler de liberté aux quatre vents. Les vieux cyniques n'auront pas le choix de nous attaquer, et ils ne s'en priveront pas. "En temps de guerre, on ne se demande pas si les balles sont payées, on les tire", disait Jean Chrétien. Nous devons nous attendre à recevoir des coups, et nous en donnerons.

Le Québec n'a jamais été bien servi par le fédéralisme canadian, il est temps de dire "Merci, bonsoir, on se reverra à l'ONU, la vieille !"

Nous vaincrons !